Réalisé par F. Gary Gray

Sortie en salle le 4 Novembre 1998

Synopsis:

Les hélicoptères de la police tournent sans relâche dans la nuit de Chicago. L'antigang, le FBI et les médias sont aux aguets. Au vingtième étage d'un immeuble, Danny Roman tient sous la menace d'une arme Niebaum, responsable de la police des polices, le commandant Forst, un indicateur et une secrétaire. Danny Roman est tout sauf un criminel. Policier aguerri, il est considéré comme le meilleur négociateur de Chicago. Seulement il est accusé d'un crime odieux. Bouc emissaire d'un terrifiant complot, Niebaum détient, apparemment, la clé du mystère mais refuse de la lui livrer.



Critique:

Bon nombre de films, se révèle bon pour peut de chose, formel dans l'histoire mais savamment réalisé avec souvent un duo en tête d'affiche qui se montre essentiel a la réussite du film et ce long métrage de F.Gary Gray qui s'appelle « The Negociator » fait partie de ceux la, avec deux acteurs sensationnels que sont Kevin Spacey et Denzel Washington.

Bien que l'on ne soit pas dans les méandres d'un KFC, c'est bien une histoire de poulet qu'il nous est raconté, des poulets habillés avec une armes et qui verbalise en gros des Policiers. Dans cet espece bien a part on trouve les négociateurs, les plus malins de la bande certainement, l'un de Danny Roman ce m'est dans une merde pas croyable, il prends en otage l'un des responsables de la police de Chicago, car il l'accuse de détournements de fonds et de meurtre, mais tout ceci est reproché a Danny. Donc que faire quand on ne peu plus faire confiance a ce qui nous entoure ??? C'est d'appelé un autre négociateur, extérieur a la brigade, pour trouver une voie qui écoute, Chris Sabian entre dans la danse, avec toutes sa verve et son expérience pour démêler le vrai du faux …

Des magouilles dans la police, ce n'est pas la premières fois que l'on voit sa a l'écran ni la dernière, l'originalité viens des postes qu'occupe Sabian et Roman, deux négociateur, deux homme a la psychologie acéré, capable de dire une chose pour en savoir une autre, d'éteindre ou non les conflits, entrelacer dans une bataille psychologique pour savoir la vérité, la réalisation de Félix Gary Gray s'adapte parfaitement au récit, montage alterné des différents points de vue, la suspicions constante qui entoure chaque policier ainsi que la tension constante qui grimpe de plus en plus, pour hélas un final un tant sois peu bien plus prévisible.

Ce film comporte deux grands rôles et une pelle d'acteurs secondaires de bon niveaux, tout d'abord l'immense Samuel L. Jackson, crédibles d'un rôle a l'autre qui endosse sans coup férir l'habit du mec traqué, acculé en défense; de l'autre bord on a Kevin Spacey, quelque temps avant American Beauty il montre encore une fois sa capacité a changer de registre, calme, réfléchi, placide, ne cédant jamais a la panique, pouvant même être un grand manipulateur; dans les seconds rôles que des mecs confirmé, David Morse en flic confirmé, Ron Rifkin qui joue un flic pourris, J.T. Walsh dans le rôle de Niebaum, le flic pourri mais surtout très con; John Spencer qui joue toujours le gradé qui prends pas trop de risques, puis Paul Giamatti très drôle en indic ...

Si la fin sans réelle surprise déçoit un peu, le reste du film est a la hauteur, un duel acéré pour une justice bafoué, un film d'une redoutable efficacité ...