1980 - 19891987Arnold SchwarzeneggerBill DukeCarl WeatherCritiqueJesse VentureJohn McTiernanShane BlackSonny Landham
Predator
Réalisé par John McTiernan
Sortie en salle le 19 Août 1987
Synopsis;
Parti à la recherche d'une équipe de conseillers militaires américains dans la forêt équatorienne, un commando de mercenaires dirigé par Dutch Schaefer est attaqué par un ennemi invisible et indestructible.
Critique:
J'ai déjà chroniqué cet année Predators de Nimrod Antal, suite de son illustre ainé réalisé par John McTiernan que j'ai "Enfin" vue, donc trois ans avant Piège de Cristal, la bébête au rastas s'invite sur grand écran avec comme copains de jeu Terminator et Apollo Creed.
Sa commence comme un bon vieux téléfilm, Dilon un mec de la CIA engage Dutch et ces hommes, pas une équipe de la croix-rouge, mais une bande de gros bras, de bons vieux mercenaires pour une mission de sauvetage, un ministre qui se serait égaré en pleine foret, leur recherche sont infructueuse quand ils tombent sur un camps de guérilleros équatoriens et la c'est la bagarre, ils font tout sauter et ne retrouve qu'une seule personne; Dutch demande le rapatriement de ces hommes, quand il commence a s'apercevoir qu'une chose les traques, les obligeant a se terrer et a attendre l'ennemi.
Comme la comparaison est inévitable, le Prédator de McTiernan est beaucoup plus intéressant, on ne s'ennuie pas, le basculement de l'action au fantastique est logique, une meilleure occupation de l'espace, la jungle est immense, oppressante et des séquences d'actions bien mieux tournés, on a aussi cet espèce de mystère entourant la créature car McTiernan nous la dévoile assez tard jouant ainsi avec la psychologie des personnages en résulte des fusillades nerveuse et quelque beau moments, quelques immenses moments devrais je dire.
Un casting avec la mention badass, j'ai dit au début Apollo Creed et Terminator car tout d'abord on a les gros bras de Carl Weather, sa change moi qui ne l'avait en tète qu'en short mais aussi on retrouve Arnold Schwarzenegger encore beau, svelte et bodybuildé qui vas chasser du Prédator; le futur réalisateur de Kiss Kiss Bang Bang alias Shane Black; le lutteur Jesse Ventura qui joue Blain un sacré soldat, Sonny Landham qui joue a l'indien et perçoit en premier le Prédator, Bill Duke qui pétera un câble en premier et souvent cantonné au rôle de militaire ou de méchant.
Critique:
J'ai déjà chroniqué cet année Predators de Nimrod Antal, suite de son illustre ainé réalisé par John McTiernan que j'ai "Enfin" vue, donc trois ans avant Piège de Cristal, la bébête au rastas s'invite sur grand écran avec comme copains de jeu Terminator et Apollo Creed.
Sa commence comme un bon vieux téléfilm, Dilon un mec de la CIA engage Dutch et ces hommes, pas une équipe de la croix-rouge, mais une bande de gros bras, de bons vieux mercenaires pour une mission de sauvetage, un ministre qui se serait égaré en pleine foret, leur recherche sont infructueuse quand ils tombent sur un camps de guérilleros équatoriens et la c'est la bagarre, ils font tout sauter et ne retrouve qu'une seule personne; Dutch demande le rapatriement de ces hommes, quand il commence a s'apercevoir qu'une chose les traques, les obligeant a se terrer et a attendre l'ennemi.
Comme la comparaison est inévitable, le Prédator de McTiernan est beaucoup plus intéressant, on ne s'ennuie pas, le basculement de l'action au fantastique est logique, une meilleure occupation de l'espace, la jungle est immense, oppressante et des séquences d'actions bien mieux tournés, on a aussi cet espèce de mystère entourant la créature car McTiernan nous la dévoile assez tard jouant ainsi avec la psychologie des personnages en résulte des fusillades nerveuse et quelque beau moments, quelques immenses moments devrais je dire.
Un casting avec la mention badass, j'ai dit au début Apollo Creed et Terminator car tout d'abord on a les gros bras de Carl Weather, sa change moi qui ne l'avait en tète qu'en short mais aussi on retrouve Arnold Schwarzenegger encore beau, svelte et bodybuildé qui vas chasser du Prédator; le futur réalisateur de Kiss Kiss Bang Bang alias Shane Black; le lutteur Jesse Ventura qui joue Blain un sacré soldat, Sonny Landham qui joue a l'indien et perçoit en premier le Prédator, Bill Duke qui pétera un câble en premier et souvent cantonné au rôle de militaire ou de méchant.
Ce film a 25 ans d'age et il n'a pas pris une ride, cerise sur le gâteau le remake ne l'égale pas ....
16 commentaires
Premier partie à chier des bulles, bourrée de faux-raccords en pagaille (dans la séquence des guerieros, on voit quinze tonnes de fois le même plan d'explosions), débilité profonde. Mais la seconde partie est largement meilleur une fois que l'ami Predator commence son carnage. Le bourrin débile devient alors un pur survival de première. Le combat final est par exemple fantastique d'ingéniosité.
RépondreSupprimerMoi j'aime bien l'ensemble, meme si le début laisse perplexe, cela sentait le navet, mais finalement il démarre en trombe pour ne pas s'arreter
SupprimerLe début laisse justement un mauvais arrière-goût avec son idéologie pour le moins douteuse. "t'es guerieros? Oui, non? Bon c'est pas grave je te troue le cul!"
SupprimerC'est certain, mais ils n'avaient qu'a pas etre la bordel MDR !!!
Supprimer"Bad ass", c'est le qualitatif parfait pour ce film ; )
RépondreSupprimerOuai qui lui sied a merveille
SupprimerExcellent film qui, quand on l'a découvert à l'époque et si on était resté vierge de toute info sur le film, se démarquait habilement du Rambo film grâce à son twist SF. Vu aujourd'hui, il a certes pris un petit coup dans l'aile mais, ses influences "walshienne" et "peckinpiennes" (scusez ces néologismes hideux) se présente comme un démontage second degré de la veine musculeuse du cinéma d'alors infiniment plus pertinente que les "expandables" d'aujourd'hui.
RépondreSupprimerUn film assez étonnant au départ, qui ne semble pas se démarquer du reste mais qui propose un twist final assez savoureux en fait
Supprimer"Predator" est sacrément bien foutu. Aucun répit et surtout, surtout un certain suspense et quelques bons frissons se font sentir. Le "predator" nous change des zombies et autres métamorphoses habituels... 4/4
RépondreSupprimerTout a fait d'accord avec toi, puis le Prédator est une bonne trouvaille je trouve
SupprimerUn vrai gros bon film de genre, signé McT : ceci explique cela !
RépondreSupprimerMcT parce qu'il le vaut bien :D uN Vrai plaisir
Supprimer"If It Bleeds, We Can Kill It !"
RépondreSupprimercette réplique est valable aussi pour Nimród Antal...
Toi Prédator avec un s tes resté en travers de la gorge :)
Supprimernon non, mais pas du tout voyons !
SupprimerMais tu peux le dire personne ne te jugera, j'ai déja eu des réactions comme celle la
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