True Romance

by - septembre 08, 2012




TRUE ROMANCE
Réalisé par Tony Scott
Sortie en salle le 3 Novembre 1993

Synopsis:

Le jour de son anniversaire, Clarence Worley rencontre la splendide Alabama dans un cinéma miteux. Coup de foudre immédiat. Après une nuit d'amour, Alabama avoue a Clarence qu'elle a été en fait engagée par le patron de Clarence comme cadeau d'anniversaire. De là va commencer une folle aventure.

Critique:

C'est con que j'attends le décès de Tony Scott pour voir certain de c'est films, car j'aimais ce qu'il faisait, on pouvait le critiquer, mais au milieu de ce barnum ambiant dans la catégorie des films d'actions, il se posait comme l'un des plus talentueux, l'un des rares avec son styles propres, tout ces film n'était pas des modèles d'écriture mais ils savaient distraire, la chose qu'on lui demandais en somme, sauf quand on vient le chercher avec un scénario sous le bras et que l'on s'appelle Quentin Tarantino et Roger Avary, cet un mélange explosif qui est a deux doigts de vous péter a la tronche, d'ailleurs l'un des producteurs achetas leur scénario pour ce film, ce qui est sympa quand on sait que l'argent financeras une partie du premier film de Tarantino; puis vint ce greffer l'ami Tony Scott qui a la lecture était enchanté et harcela le producteur pour le réalisé, c'est ainsi que « True Romance » allait bientôt débarquer.

Clarence est un mec tout ce qu'il y a de plus paumés, il passe la soirée de son anniversaire seul dans un cinéma a regarder Sonny Chiba mettre des claques a ne plus savoir qu'en faire, le jour il bosse dans une boutiques de BD; mais ce soir la, c'est spécial, une jeune blonde, jolie, belle qu'un cœur viens le dragué pendant son film, étonné par son audace, Clarence est séduit par la belle Alabama, elle ce sent bien a ces coté et arrête sa vie de prostitué. Un peu déboussolé par ce qu'il apprends, Clarence guidé par la voix d'Elvis (Oui je ne déconne pas) marque son territoire vis a vis du proxénète, mais rien ne se passe comme prévu, il tue le proxénète et prends par erreur une mallette remplis d'une belle poudreuse. Au lieu de se rendre, notre couple part en direction de Los Angeles pour esperer revendre tout sa, tout en ayant au cul les mafieux a qui sa appartenait, mais rien n'est plus fort que leur indiscible amour

Il n'y a pas grand chose a redire au final, c'est une petite pépites, un film devenue culte, l'un des meilleurs que j'ai vu de Tony Scott, il arrive a faire la synthèse parfaite entre le scénario de Tarantino et son style, un scénario dont juste la chronologie fut changé, nous dépeint une histoire d'amour peu commune qui dégénère au delà de l'imaginable, c'est bourré de clins d'œil, de référence cinématographique, de personnage secondaires complètement décalqué, les dialogues, le déroulement du film est précis, c'est bien rythmé; on retrouve pas mal aussi de porte ouverte sur l'univers de Tarantino (Reservoir Dogs, la liaison Mr White/Alabama) ainsi qu'un incroyable « mexican standoff » ou l'aperçoit tout le talent de Tony Scott pour l'action, pour cette mise en scène racé, énergique et aussi très stylisé, le mélange fusillade a de la musique douce pendant que les plumes des canapés volent dans la pièces est très élégant.

Le casting quand a lui est absolument dément, dantesque, incroyable, mélange de jeune talents et de grandes gloires; on a tout d'abord un duo qui s'assortit a merveille, les talentueux Christian Slater, doux, drôle mais assez allumez dans sa tête et Patricia Arquette qui ne le lâcheras jamais, une communion instinctive a l'écran dont on adhère des le départ; ensuite on trouve Bronson Pinchot agent un peu coincé pas très finaud qui galère tout seul avec son patron Saul Rubinek qui est a deux doigts de se la joué Scarface, car personne ne l'emmerde; la drogue qu'ils ont piqué intéresse beaucoup de monde Christopher Walken qui nous livre en compagnie de Denis Hopper une des meilleurs scènes du film; James Gandolfini qui déboite la pauvre Alabama, parfait en homme de main; d'un autre coté il y a les flics qui veulent coincer ce salauds avec la dope, Chris Penn et Tom Sizemore tordant en flic enragé supervisé par Ed Lauter; on trouve aussi d'autre personnages savoureux avec Brad Pitt, Gary Oldman, Samuel L. Jackson, Michael Rapaport et Val Kilmer qui joue le King ...

Un excellent film conditionné par un bon réalisateur et un bon scénario


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6 commentaires

  1. Pas vu mais bien tenté. J'essaie de trouver le BR de Metropolitan.

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  2. J'ai acheté l'édition director's cut US & ma foi j'en suis pleinement satisfait, meilleure en tout cas que celle éditée par Metropolitan qui comporte elle, davantage de bonus.

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    1. Je me contente de l'édition simple :D car l'essentiel c'est le film, après j'imagine que les éditions ne se valent pas

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  3. Ça doit être un des rares films de Tony Scott que je n'ai pas encore vu. Je vais essayer d'y remédier prochainement :)

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    1. Tu peux y allez en courant meme !!! Il vaut largement le coup

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