2000 - 20092001Christophe GansCritiqueEmilie DequenneFranceJean YanneJean-François SteveninJeremie RenierMark DacascosMonica BellucciSamuel Le BihanVincent Cassel
Le Pacte des Loups
LE PACTE DES LOUPS
Réalisé par Christophe Gans
Sortie en salle 31 Janvier 2001
Synopsis:
En 1766, une bête mystérieuse sévit dans les montagnes du Gévaudan et fait de nombreuses victimes, sans que quiconque puisse l'identifier ou la tuer. Les gens ont peur. C'est un monstre surgi de l'enfer ou une punition de Dieu. L'affaire prend rapidement une dimension nationale et porte atteinte à l'autorité du Roi. Le chevalier Grégoire De Fronsac, naturaliste de surcroît, est alors envoyé dans la région du Gévaudan pour dresser le portrait de la bête.
Critique:
Un petit soleil d'Amérique qui flotte dans ce film, sorti en 2001, avec un budget conséquent pour l'époque, 32 000 000 d'euros; fut il couronnés de succès, a mon avis oui, avec environ cinq millions d'entrées, et surement une belle plus values en produit dérivés.
Samuel le Bihan incarne avec légèreté le chevalier Grégoire de Fronsac, il incarne plutôt bien ce chevalier et naturiste du roi, un brin contradictoire vous me direz, mais Gans n'est pas a une vérité historique prés, cela permet de voir Samuel sous un autre jour, libertin, de l'humour, de l'action tout sa dans un même film; il n'est point seul; Mark Dacascos est la, il est dans la place, il fait pas plus que ce qu'il fait d'habitude . . Il donne des coups de tatane comme personnes, mention spéciale a la petit bagarre sous la pluie, le deuxième gros rôles qui tient tète a Samuel le Bihan, c'est Vincent Cassel qui incarne Jean François de Morangias, homme taciturne et affable, qui se montre d'une violence inouïe dans sa pseudo quête, Vincent est parfait, timide agressif fragile un subtil mélange pour incarner celui qui dompta la bête.
Christophe Gans réussi un superbe film, monstrueusement filmé, c'est une vrai réussite d'un point graphique, une atmosphère poisseuse et malsaine, avec une forte pression de l'Église et du roi, des costumes magnifique, un vrai effort a été consenti de ce coté, ce n'est pas la révolution dans la chorégraphie des combats, bien que Dacascos apporte un certain savoir faire; une scène très mystique, ou il apporte un soin et une esthétique qui lui est familière; il se perd malgré tout dans la progression de son film, car nous avons une premières partie dynamique, simple avec une présentations des protagonistes et le début de l'enquêtes, mais la ou on perd en crédibilité c'est quand on nous montre la Bête, complètement fabriqué de toutes pièces et la on se perd en vague complots compromettant l'Église et les notables de la ville, le dénouement est bon mais plus crédible est le films devient beaucoup trop long, sinon cela reste un des meilleurs films de Christophe Gans.
En 1766, une bête mystérieuse sévit dans les montagnes du Gévaudan et fait de nombreuses victimes, sans que quiconque puisse l'identifier ou la tuer. Les gens ont peur. C'est un monstre surgi de l'enfer ou une punition de Dieu. L'affaire prend rapidement une dimension nationale et porte atteinte à l'autorité du Roi. Le chevalier Grégoire De Fronsac, naturaliste de surcroît, est alors envoyé dans la région du Gévaudan pour dresser le portrait de la bête.
Critique:
Un petit soleil d'Amérique qui flotte dans ce film, sorti en 2001, avec un budget conséquent pour l'époque, 32 000 000 d'euros; fut il couronnés de succès, a mon avis oui, avec environ cinq millions d'entrées, et surement une belle plus values en produit dérivés.
Samuel le Bihan incarne avec légèreté le chevalier Grégoire de Fronsac, il incarne plutôt bien ce chevalier et naturiste du roi, un brin contradictoire vous me direz, mais Gans n'est pas a une vérité historique prés, cela permet de voir Samuel sous un autre jour, libertin, de l'humour, de l'action tout sa dans un même film; il n'est point seul; Mark Dacascos est la, il est dans la place, il fait pas plus que ce qu'il fait d'habitude . . Il donne des coups de tatane comme personnes, mention spéciale a la petit bagarre sous la pluie, le deuxième gros rôles qui tient tète a Samuel le Bihan, c'est Vincent Cassel qui incarne Jean François de Morangias, homme taciturne et affable, qui se montre d'une violence inouïe dans sa pseudo quête, Vincent est parfait, timide agressif fragile un subtil mélange pour incarner celui qui dompta la bête.
Christophe Gans réussi un superbe film, monstrueusement filmé, c'est une vrai réussite d'un point graphique, une atmosphère poisseuse et malsaine, avec une forte pression de l'Église et du roi, des costumes magnifique, un vrai effort a été consenti de ce coté, ce n'est pas la révolution dans la chorégraphie des combats, bien que Dacascos apporte un certain savoir faire; une scène très mystique, ou il apporte un soin et une esthétique qui lui est familière; il se perd malgré tout dans la progression de son film, car nous avons une premières partie dynamique, simple avec une présentations des protagonistes et le début de l'enquêtes, mais la ou on perd en crédibilité c'est quand on nous montre la Bête, complètement fabriqué de toutes pièces et la on se perd en vague complots compromettant l'Église et les notables de la ville, le dénouement est bon mais plus crédible est le films devient beaucoup trop long, sinon cela reste un des meilleurs films de Christophe Gans.
Un film qui sort de l'ordinaire, pas parfait mais loin d’être inintéressant ...
18 commentaires
Pas toujours bon (notamment sa créature plutôt moche même si mieux foutue que celle du Loup garou de Paris) mais du film de genre comme on voudrait en voir plus souvent. Et puis Le Bihan et Dacascos aussi bons c'est tellement rare.
RépondreSupprimerLa créature c'est dommage, meme si on l'a voit peu, des qu'elle est pres c'est pas folichon; comme toi j'aimerais en voir plus des films de ce genre français. Tandis que c'est rare quand Le Bihan assure, Dacascos aussi
SupprimerJe vois que nous sommes d'accord. Maintenant il faut que tu vois Silent Hill et moi que je vois enfin Crying freeman en entier. ;)
SupprimerCrying Freeman est vraiment pas mal
SupprimerJ'ai vu une partie mais pas vu le reste. Et puis il y a Tcheky Karyo mon gueulards français préféré.
SupprimerTcheky Karyo est vraiment un type qui a de la gueule, ainsi qu'un certains charisme
SupprimerEt son côté gueulard aide beaucoup. Sans lui Nikita serait vraiment ennuyeux. Un vrai réveil. D'ailleurs j'adore son autoparodie dans La cité de la peur: "Mais non chérie je ne vais pas crier. Coooooombiiiiiiien?!"
SupprimerD'accord avec toi, il a ce petit truc qui fait la différence, une chose essentielle pour survivre dans ce monde impitoyable du cinema
SupprimerAprès ça ne l'empêche pas de jouer dans des merdes.
SupprimerOui hélas cela ne garantit rien
SupprimerJ'ai beaucoup de mal avec ce film, que je trouve nul. Faudrait que je le revoie pour reforger mon avis, mais mes souvenirs ne sont pas très bons.
RépondreSupprimerNul ?!? T'est dur avec, je pensais qu'il y aurait des trucs qui te plairait dans ce film, c'est ambitieux, cela a du style, de l'audace, bon c'est pas toujours réussis, mais pour moi il est pas mal
SupprimerAprès, je l'ai vu il y a un bon petit bout de temps déjà, comme je l'ai dit, il faut que je le revoie (même si je n'en ai pas forcement très envie) :).
SupprimerJe peux comprendre, moi meme j'ai du mal quand je veux revisionner un film que je n'aimer pas depuis longtemps
SupprimerUn film pas mal méprisé, mais que j'apprécie assez tout de même, bien que trop vu.
RépondreSupprimerPas tant vu que sa pour moi, mais il y en a tellement peu de film de ce genre en France que je l'ai toujours sous le coude
SupprimerPour avoir rencontré Samuel Le Bihan, ne lui parlez plus de ce film ^^ il en a juste marre !
RépondreSupprimerC'est dommage, je l'aime bien dedans :)
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