Sueurs Froides
SUEURS FROIDES
Réalisé par Alfred Hitchcock
Sortie en salle 28 Janvier 1959
Synopsis:
Scottie est sujet au vertige, ce qui lui porte préjudice dans son métier de policier. Rendu responsable de la mort d'un de ses collègues, il décide de quitter la police. Une ancienne relation le contacte afin qu'il suive sa femme, possédée selon lui par l'esprit de son aïeule. Scottie s'éprend de la jeune femme et se trouve ballotté par des évènements qu'il ne peut contrôler.
Critique:
Deux fois que je le regarde, car j'avoue que je me suis un peu assoupie et oui, une fois sur le canapé, les doigts de pieds en éventail, j'ai craqué, ceci dit je ne me suis pas loupé deux fois, « Sueurs Froides » ou « Vertigo » pour les intimes. C'est encore un film d'Alfred Hitchcock, oui trois films dans la semaine du maitre et il n'y a pas un seul navet, donc je vais essayer de pas vous faire suer pour parler de ce film, l'un des films cultes de beaucoup de cinéastes.
Le film se passe a San Francisco, on suit le destin de John Ferguson dit Scottie, un policier pas comme les autres, il souffre d'acrophobie a la suite d'un incident qui coutât la vie a l'un de ces collègues policier. Mis de coté après cet incident, il broie du noir, diminué par cet handicap il ne trouve du réconfort auprès de Marjorie Wood son amie. Au même moment une de ses vieilles connaissances renoue le contact, Gavin Helster qui est inquiet pour sa femme, il dit d'elle qu'elle possédé par l'esprit d'une morte, d'abord sceptique Scottie n'accepte pas. Un soir dans un restaurant Gavin lui dit de passer pour l'observer, la on sentit son intérêt et le lendemain il commença a la suivre, découvris son attirance pour la tombe et le portrait d'une défunte appelé Carlotta Valdes. Ainsi troublé par ces découvertes, il en parle a son amis et il lui dit que Carlotta était sa grand-mère et quelle est morte a l'age qu'a Madeleine sa femme. Epris de cette femme, Scottie ira bien plus loin que ce qu'il pensait, il y découvrira une machination plus que diabolique ….
Diabolique est le mot juste quand on arrive a la fin de ce film, grâce a un savoureux mélange des genres, soit un peu de romance, de fantastique et de polar, Alfred Hitchcock sais exactement ou nous amené avec le scénario de ce film, le voyeurisme de Scottie qui suit Madeleine, l'obsession qui s'en dégage et l'intrigue qui se tisse lentement, il parsème la premier partie du film d'indice, le bouquet, la coiffure avec un motif récurrent dans le film nous embrouillant ainsi l'esprit, pour par la suite devenir aussi clair que de l'eau de roche, pour au final être un drame obsédant et cruel que nous laisse paraître la fin. Du coté de la réalisation du film, c'est toujours aussi finement exécuté et c'est aussi grâce a ce film que l'on a l'effet « Vertigo » pour illustrer les scènes de vertige. Alfred Hitchcock utilise la caméra subjective, mais d’une façon particulière, la caméra opère deux mouvements simultanés : un mouvement d’appareil vers l’arrière et un zoom avant. Ce n'est donc pas pour rien qu'il souvent cité en exemple ce film la …
Scottie est sujet au vertige, ce qui lui porte préjudice dans son métier de policier. Rendu responsable de la mort d'un de ses collègues, il décide de quitter la police. Une ancienne relation le contacte afin qu'il suive sa femme, possédée selon lui par l'esprit de son aïeule. Scottie s'éprend de la jeune femme et se trouve ballotté par des évènements qu'il ne peut contrôler.
Critique:
Deux fois que je le regarde, car j'avoue que je me suis un peu assoupie et oui, une fois sur le canapé, les doigts de pieds en éventail, j'ai craqué, ceci dit je ne me suis pas loupé deux fois, « Sueurs Froides » ou « Vertigo » pour les intimes. C'est encore un film d'Alfred Hitchcock, oui trois films dans la semaine du maitre et il n'y a pas un seul navet, donc je vais essayer de pas vous faire suer pour parler de ce film, l'un des films cultes de beaucoup de cinéastes.
Le film se passe a San Francisco, on suit le destin de John Ferguson dit Scottie, un policier pas comme les autres, il souffre d'acrophobie a la suite d'un incident qui coutât la vie a l'un de ces collègues policier. Mis de coté après cet incident, il broie du noir, diminué par cet handicap il ne trouve du réconfort auprès de Marjorie Wood son amie. Au même moment une de ses vieilles connaissances renoue le contact, Gavin Helster qui est inquiet pour sa femme, il dit d'elle qu'elle possédé par l'esprit d'une morte, d'abord sceptique Scottie n'accepte pas. Un soir dans un restaurant Gavin lui dit de passer pour l'observer, la on sentit son intérêt et le lendemain il commença a la suivre, découvris son attirance pour la tombe et le portrait d'une défunte appelé Carlotta Valdes. Ainsi troublé par ces découvertes, il en parle a son amis et il lui dit que Carlotta était sa grand-mère et quelle est morte a l'age qu'a Madeleine sa femme. Epris de cette femme, Scottie ira bien plus loin que ce qu'il pensait, il y découvrira une machination plus que diabolique ….
Diabolique est le mot juste quand on arrive a la fin de ce film, grâce a un savoureux mélange des genres, soit un peu de romance, de fantastique et de polar, Alfred Hitchcock sais exactement ou nous amené avec le scénario de ce film, le voyeurisme de Scottie qui suit Madeleine, l'obsession qui s'en dégage et l'intrigue qui se tisse lentement, il parsème la premier partie du film d'indice, le bouquet, la coiffure avec un motif récurrent dans le film nous embrouillant ainsi l'esprit, pour par la suite devenir aussi clair que de l'eau de roche, pour au final être un drame obsédant et cruel que nous laisse paraître la fin. Du coté de la réalisation du film, c'est toujours aussi finement exécuté et c'est aussi grâce a ce film que l'on a l'effet « Vertigo » pour illustrer les scènes de vertige. Alfred Hitchcock utilise la caméra subjective, mais d’une façon particulière, la caméra opère deux mouvements simultanés : un mouvement d’appareil vers l’arrière et un zoom avant. Ce n'est donc pas pour rien qu'il souvent cité en exemple ce film la …
Le casting dans chaque films que j'ai vu de Monsieur A.Hitchcock est au poil, ce qui ne déroge pas a la règle ici, après avoir vu James Stewart sévir dans « Fenêtre sur Cour », je le retrouve pour mon plus grand plaisir dans ce film qui nous montre une palette encore plus étendue, il se montre vulnérable, sensible, touchant ou il se laisse submerger par ces émotions, on est autant dévasté que lui; la nouvelle blonde d'Hitchcock c'est la fatale Kim Novak, qui prends un malin plaisir a jouer avec nos nerfs, maintenant une aura de mystère sur elle tout le long du film, une excellente interprète qui a la beauté irréelle du tableau présent dans le film; Barbara Bel Geddes joue un peu a l'ange gardien avec Stewart, le rassurant, le tempérant et l'aidant du mieux qu'il peut dans son enquête et Tom Helmore austère comme pas d'eux, arrogant, toujours dans le flou pour mieux faire ce qu'il souhaite ...
Un film brillantissime
2 commentaires
Beaucoup le citent comme le meilleur mais pour moi ce n'est pas le cas. Reste une mémorable montagne russe où le héros joue au yoyo avec ses pensées et visions.
RépondreSupprimerPour moi non plus ce n'est pas le meilleur, mais de par son scénario, sa réalisation et les themes abordés il fait partie du haut du panier
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