Synopsis:

Après avoir semé le trouble au Kazakhstan, le général Alexander Radek est capture par un commando russo-americain et jetée en prison. Trois semaines après, le président américain John Marshall reçoit un accueil triomphal a Moscou et lance une solennelle déclaration de guerre au terrorisme. Alors qu'il rentre a Washington a bord de l'Air Force One en compagnie de sa femme, de sa fille et de son cabinet, des terroristes investissent l'appareil et séquestrent les passagers.

Critique:

C'est fou ce qu'un film peut vieillir et peut paraître désuet, ce film est sorti en 1997, j'avais a peine 11 ans, maintenant que je l'ai revu 12 ans après, j'ai pas vraiment le même avis, il s'agit d'un avion, d'une Ford, je parle donc de "Air Force One", allons voir pourquoi il est si nul.

Tout d'abord Air Force One , le bel indicatif de l'avion qui transporte le président des Etats-Unis d'Amérique, lieu de notre film; auparavant on débute avec la capture d'un chef militaire, le général Radek, troublions voulant redorer le blason de la mère patrie. S'en suit un discours d'une force tel que Dominique de villepin en serais jaloux , le président Marshall se lache « A leur tour d'avoir peur . . . », sa part bien, mais a tout chef militaire capturé qui se respectent a sa horde de fanatique, cet ainsi que Egor Korshunov est ces camarades infiltrent et prennent en otage l'avion, mais tel superman le président Marshall vas tous les sauver en point d'orgue le final ou sa femme et sa fille sont au mains des terroriste, mais quellll sussppennsseee.

Bref j'exagère, car voilà c'est de l'ultra convenue comme scénario, et que 12 ans après c'est d'un cliché, le président souverain et ultra protecteur, qui frissonne quand un otage vas être exécuté, ce rend parce que sa fille et sa femme sont prisonnière, après sa fait PIM, PAFFF bref Wolfgang Petersen se casse pas le c.. pour nous servir ce banal film d'action, même les rares effets visuels sont a vomir, encore heureux que les acteurs soit relativement bon, un mélange de stars et d'acteurs de «seconde zone», Harrison Ford, Glenn Close, William H Macy, Dean Stockwell, Gary Oldman.