Synopsis:

Con Air, c'est la division aeroportée de la police fédérale américaine qui assure le transport des détenus à travers le pays pour comparution devant la cour, urgence médicale ou transfert de prison à prison. Cameron Poe, récemment libéré sur parole, prend place à bord d'un de ces avions pour retrouver sa femme et sa fille, qu'il n'a encore jamais vue. A bord également, Cyrus Grissom, surnommé le virus et quelques-uns de ses comparses, qui doivent rejoindre un nouveau quartier de haute sécurité.

Critique:

Nicolas Cage est un acteur ringard mais qui conserve un certain capital sympathie, depuis Lord of War, c'est bonne prestations se font rare, mais a sa grande époque il joua dans deux blockbuster d'action bien fichu, en 1996 sous la houlette de Bay dans « Rock », puis en 1997 sous la direction de Simon West dans « Les Ailes de l'Enfer »..

Cameron Poe est un ancien adolescent turbulent, qui se refera la cerise en allant dans l'armée et devenant ainsi un marines accomplis. Son retour a la vie civile s'annonce bien, sa chérie est enceinte mais par un soir d'orage il tuera un ivrogne qui les embêtait a la sortie d'un bar. Emprisonné, il ne protestera pas, attendant patiemment la fin de sa peine pour revoir sa famille, sauf que dans l'avion qui doit le ramener se trouve toute une bande de dangereux malfrat, dont Cyrus le virus qui détourneront cette avion, comme Cameron Poe est un fou furieux il décide de restait pour les arrêter.

Un film comme sa fait du bien de temps en temps, Simon West fait un film d'action comme on peut les aimer, un scénario qui permet d'accumuler les scènes d'actions sans faire de l'esprit, une galerie de personnages tous plus barré les uns que les autres, la palme revenant aux méchants (Cyrus le virus trop balèze) mais aussi une réalisation efficace qui se démène pour nous distraire tout le long du film, avec en autre la prise de pouvoir des bandits dans l'avion, le passage dans la casse ou le final a Las Vegas, tout ceci est absolument dantesque.

Le bonheur dans ce film viens des multiples personnages a l'écran, Nicolas Cage est parfait en taulard tout mignon prêt a sauver la veuve et l'orphelin, John Cusack en agent pénitencier moitié action-man moitié bibliothécaire qui est aussi tenace que loquace, un John Malkovitch frappadingue qui allie maitrise intellectuelle et perversité pour un rôle a sa mesure; on trouve aussi des garçon comme Steve Buscemi, Nick Chinlund ainsi que Ving Rhames en défenseur de la cause noire très convaincant chantant un chant très agaçant par moment pour tout amateur de rugby; Danny Trejo y vas aussi de sa petit trombine si charmante et avenante ...