0071960 - 19691965Bernard LeeCec LinderCritiqueDesmond LlewelynGert FrobeGuy HamiltonHarold SakataHonor BlackmanJames BondLois MaxwellSean ConneryShirley Eaton
Goldfinger
GOLDFINGER
Réalisé par Guy Hamilton
Sortie en salle le 18 Février 1965
L'agent secret 007 est chargé d’enquêter sur les revenus d'Auric Goldfinger. La banque d'Angleterre a découvert qu'il entreposait d'énormes quantités d'or, mais s'inquiète de ne pas savoir dans quel but. Quelques verres, parties de golf, poursuites et autres aventures galantes plus loin, James Bond découvre en réalité les préparatifs du "crime du siècle", dont les retombées pourraient amener le chaos économique sur les pays développés du bloc Ouest...
Critique:
Ian Fleming est bien un romancier, on ne sait jamais quand leur imagination vas faire fureur, vas leur donner la bonne idée, cet ainsi qu'au détour d'une station thermale en 1956 que Ian Fleming est eu l'idée de son roman « Goldfinger » après sa rencontre avec un courtier en Or, mais le plus drôle a mon sens c'est le nom du méchant, Ian Fleming détesté a l'époque un architecte hongrois qui se caractérisait pas des constructions modernes, tendant même vers le surréalisme qui défiguré selon lui le centre de la city londonienne, cet ainsi qu'il signa bon nombre de pétitions pour arrêter ce carnage, le nom de l'architecte « Erno Goldfinger ». A l'origine pourtant c'était « Opération Tonnerre » que les producteurs voulait adapté, mais une histoire juridique les empêcha, c'est donc « Goldfinger » sortie en 1959 qui fut choisis.
On retrouve James Bond, dans le film qui marquera durablement la saga, après une dernière mission, Sir Bond se prélasse dans un hotel, massé par une sympathique demoiselle quand il est dérangé par Felix Leiter; Bond doit surveiller l'industriel Auric Goldfinger. Joie de la chance, il se trouve dans le meme hotel et s'aperçoit qu'il triche a un jeu de carte, il prends la place de sa complice, Jill Materson et le force a perdre. Si la suite est pour lui agréable, il n'en sera pas de meme pour Jill, Goldfinger peut content de sa trahison, il l'a tue en la recouvrant d'or. Malgré sa, James Bond continue sont enquete et fouine de plus en plus dans les affaires de Goldfinger, s'équipant au passage d'un DB5 gadgetifié; pour attiré sont attention il défie Goldfinger dans un golf, lui faisant miroité de l'or, une rencontre assez froide. Bond décide de pénètre dans l'une de c'est usines, sauf qu'en repartant, Tilly la soeur de Jilly se fait tuer et Bond arrêter. C'est un James Bond emprisonné qui doit se lancer a la trace du plan « Grand Chelem » …
Exit notre cher ami Terence Young a cause de broutille financière, place a Guy Hamilton qui s'était refusé a eux pour le premier arrive a temps pour signé le troisième volets des aventures de James Bond. Adaptation du roman éponyme de Ian Fleming, scénario signé Richard Maibaum et Paul Dehn qui a le mérite de placer vite l'action, « Le SPECTRE » est toujours la, le méchant se nomme Goldfinger, les Bond Girls sont irrésistible et Q est enfin en service; Guy Hamilton signe l'opus qui synthétise a merveille toute l'essence de James Bond, passons sur les James Bond Girls au nom équivoque, passons sur Q, mais ce qu'il fait de cet opus l'un des grands moments de la saga, c'est son méchant, Auric Goldfinger, certainement le plus charismatique, le plus mégalomane, le plus colérique, cet accent si particulier lui donnant un ton inquiétant, son interprète brillant font de lui la pierre angulaire de ce long métrage qui n'est pas avare en bonne phrase, en scène choc notamment avec Jill au début, des moments de tension et d'action avec une certaine DB5 puis un final grandiose a Fort Knox. Puis il serait insultant d'oublier la divine Shiley Bassey qui signe la chanson titre, une vrai petite merveille.
Comme dans les précédents il y a les indéboulonnables, la petite Lois Maxwell en Moneypenny, Bernard Lee toujours impeccable en M et enfin Desmond Llewelyn qui prends sont rôle de Q avec tout l'humour qui lui est dus; on retrouve aussi Felix Leiter interprété cette fois ci par Cec Linder; la candeur de la jolie Shirley Eaton devenant une bond Girl mythique avec la scène ou elle est recouverte d'une peinture d'or; vint aussi la redoutable Pussy Galore joué par Honor Blackman, aussi sexy que manipulatrice; Harold Sakata est Oddjob, lutteur muet au service de Goldfinger, aussi muet que redoutable; tandis que Sean Connery n'incarne plus seulement James Bond, mais il est James Bond, il incarne une certaine idée de l'élégance, de la virilité, qui pousse par contre sur le machisme assez bas de gamme mais quand on a le permis de tuer, on fait ce que l'on veut; mais comme j'ai dit plus haut, c'est Gert Frobe l'acteur qui incarne a merveille Auric Goldfinger, deuxième choix après Orson Welles qui ne put être engagé pour des raisons financières et ce n'est pas si mal, on sent l'interprète qui aime son personnage, narcissisique, pervers, et tres dangereux, une performance de choix et d'immense qualité.
Ian Fleming est bien un romancier, on ne sait jamais quand leur imagination vas faire fureur, vas leur donner la bonne idée, cet ainsi qu'au détour d'une station thermale en 1956 que Ian Fleming est eu l'idée de son roman « Goldfinger » après sa rencontre avec un courtier en Or, mais le plus drôle a mon sens c'est le nom du méchant, Ian Fleming détesté a l'époque un architecte hongrois qui se caractérisait pas des constructions modernes, tendant même vers le surréalisme qui défiguré selon lui le centre de la city londonienne, cet ainsi qu'il signa bon nombre de pétitions pour arrêter ce carnage, le nom de l'architecte « Erno Goldfinger ». A l'origine pourtant c'était « Opération Tonnerre » que les producteurs voulait adapté, mais une histoire juridique les empêcha, c'est donc « Goldfinger » sortie en 1959 qui fut choisis.
On retrouve James Bond, dans le film qui marquera durablement la saga, après une dernière mission, Sir Bond se prélasse dans un hotel, massé par une sympathique demoiselle quand il est dérangé par Felix Leiter; Bond doit surveiller l'industriel Auric Goldfinger. Joie de la chance, il se trouve dans le meme hotel et s'aperçoit qu'il triche a un jeu de carte, il prends la place de sa complice, Jill Materson et le force a perdre. Si la suite est pour lui agréable, il n'en sera pas de meme pour Jill, Goldfinger peut content de sa trahison, il l'a tue en la recouvrant d'or. Malgré sa, James Bond continue sont enquete et fouine de plus en plus dans les affaires de Goldfinger, s'équipant au passage d'un DB5 gadgetifié; pour attiré sont attention il défie Goldfinger dans un golf, lui faisant miroité de l'or, une rencontre assez froide. Bond décide de pénètre dans l'une de c'est usines, sauf qu'en repartant, Tilly la soeur de Jilly se fait tuer et Bond arrêter. C'est un James Bond emprisonné qui doit se lancer a la trace du plan « Grand Chelem » …
Exit notre cher ami Terence Young a cause de broutille financière, place a Guy Hamilton qui s'était refusé a eux pour le premier arrive a temps pour signé le troisième volets des aventures de James Bond. Adaptation du roman éponyme de Ian Fleming, scénario signé Richard Maibaum et Paul Dehn qui a le mérite de placer vite l'action, « Le SPECTRE » est toujours la, le méchant se nomme Goldfinger, les Bond Girls sont irrésistible et Q est enfin en service; Guy Hamilton signe l'opus qui synthétise a merveille toute l'essence de James Bond, passons sur les James Bond Girls au nom équivoque, passons sur Q, mais ce qu'il fait de cet opus l'un des grands moments de la saga, c'est son méchant, Auric Goldfinger, certainement le plus charismatique, le plus mégalomane, le plus colérique, cet accent si particulier lui donnant un ton inquiétant, son interprète brillant font de lui la pierre angulaire de ce long métrage qui n'est pas avare en bonne phrase, en scène choc notamment avec Jill au début, des moments de tension et d'action avec une certaine DB5 puis un final grandiose a Fort Knox. Puis il serait insultant d'oublier la divine Shiley Bassey qui signe la chanson titre, une vrai petite merveille.
Comme dans les précédents il y a les indéboulonnables, la petite Lois Maxwell en Moneypenny, Bernard Lee toujours impeccable en M et enfin Desmond Llewelyn qui prends sont rôle de Q avec tout l'humour qui lui est dus; on retrouve aussi Felix Leiter interprété cette fois ci par Cec Linder; la candeur de la jolie Shirley Eaton devenant une bond Girl mythique avec la scène ou elle est recouverte d'une peinture d'or; vint aussi la redoutable Pussy Galore joué par Honor Blackman, aussi sexy que manipulatrice; Harold Sakata est Oddjob, lutteur muet au service de Goldfinger, aussi muet que redoutable; tandis que Sean Connery n'incarne plus seulement James Bond, mais il est James Bond, il incarne une certaine idée de l'élégance, de la virilité, qui pousse par contre sur le machisme assez bas de gamme mais quand on a le permis de tuer, on fait ce que l'on veut; mais comme j'ai dit plus haut, c'est Gert Frobe l'acteur qui incarne a merveille Auric Goldfinger, deuxième choix après Orson Welles qui ne put être engagé pour des raisons financières et ce n'est pas si mal, on sent l'interprète qui aime son personnage, narcissisique, pervers, et tres dangereux, une performance de choix et d'immense qualité.
J'aime énormément les opus avec Daniel Craig, mais celui ci reste devant a mes yeux, c'est un James Bond a voir, un essentiel de la sagas
16 commentaires
Le meilleur avec Sean Connery. Que ce soit la musique, le méchant, les répliques cultes ou les péripéties.
RépondreSupprimerOne est d'accord il n'y a rien a jeter
SupprimerC'est vraiment une des références de la saga et à voir absolument. Je n'ai malheureusement pas commencé par les Connery (j'ai vu quelques Moore, les Brosnan et les Craig avant), mais quand j'ai voulu faire mon cycle Bond, j'ai vu tout d'une traite!
SupprimerC'est dommage, mais ce n'est rien d'étonnant, il faut y tomber dessus a la TV, de plus les Connery ce ne sont pas ceux qui sont le plus diffusé. Ta du t'éclater a tous les voir a la suite, je voulais faire sa aussi, mais j'ai Assassin's Creed 3 sur le feu :D donc j'ai mis sa au ralenti
SupprimerAh sacré gamer! Moi je bosse sur une retrospective de Spielberg. Quel boulot! Et ce soir je me suis fait deux pages de Jack Burton 2.
SupprimerBen ouai, je deviens un ermite pendant 1 mois par an environ
SupprimerLol c'est ta chérie qui doit être contente d'avoir Robinson Crusoé à la maison! :D
SupprimerMais je ne l'oublie pas, je suis un ermite attentionné
SupprimerJ'imagine ta barbe au bout d'un mois! ;) Castro comment ça va?!
SupprimerJe préfère Joseph Staline
SupprimerSans doute le meilleur des Bond, tant il combine tout ce qui a construit le mythe.
RépondreSupprimerA noter que l'adaptation à l'écran modifie un peu (en l'enrichissant, à mon avis) le plan de Goldfinger : au lieu de vouloir s'emparer de l'or de Fort Knox, Auric Goldfinger veut ici l'irradier, afin d'affoler les cours du métal précieux et ainsi s'enrichir un peu plus.
Bref, l'expression "âge d'or" (presque sans mauvais jeu de mots) prend ici tout son sens !
C'est certain, ce Bond la possède tout ce qu'il faut
SupprimerJe trouve cela plus original, c'est sur qu'un simple vol, mais l'issue aurait été la meme, plus d'or, raréfaction de la ressource et le cour se serait envolé je pense, une bien belle histoire en tous cas
Un sacré age d'or comme tu le dis
On me l'a moulte fois conseillé celui-là. Faudrait définitivement que j'y jette un oeil !
RépondreSupprimerJ'en rajoute une couche alors :D
SupprimerJ'ai exactement la même réflèxion que toi dans le critique qui est au chaud dans mon ordi : Auric Goldfinger fait de ce volet une aventure mythique. Je trouve que Gert Frobe n'en fait pas trop et qu'il en fait juste assez pour nous inquiéter.
RépondreSupprimerOui tout a fait, comme quoi un méchant n'a pas besoin d'ètre moche ou grandiloquent pour etre bon
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