Pour conquérir le cœur de sa jolie voisine, Audrey, Ted va s’échapper de Thneedville, un monde totalement artificiel où toute végétation a définitivement disparu, pour partir en quête d’un arbre vivant. Ted va rencontrer le Gash-pilleur, un vieil ermite aigri reclus dans sa cabane au milieu de nulle part, et découvrir la légende du Lorax, cette créature aussi renfrognée que craquante qui vit dans la magnifique vallée de Truffala et lutte avec ardeur pour la protection de la nature. Avec l’aide de sa grand-mère, Mamie Norma, Ted va devoir déjouer les pièges de O’Hare et ses sbires pour rapporter à Audrey la dernière graine d’arbre vivant au monde. Sans le savoir, le jeune garçon va transformer le destin de Thneedville.

Critique:

En 2010 sortait un film d'animation nommé « Moi, Moche et Méchant », un film que l'on peut estampillé made in France, avec des animateurs sortants des studios Mac Guff a Paris; un film d'animation qui s'en sort pas mal, ayant même réussis a me séduire, chose rare dans l'animation avec moi. Deux ans apres c'est petit malins récidive avec « Le Lorax », ajoutez y une campagne de pub efficace mettant en scènes cette bête a moustache orange qui parle au arbres, l'intérêt que j'y portais est aller crescendo, jusqu'à allez le voir au cinéma, la premier surprise est de taille selon moi, c'est la teneur du scénario. Le Lorax est adapté d'un livre écrit par Theodor Seuss Geisel dit le Dr Seuss, auteur entre autre du « Chat Chapeauté » et du « Grincheux qui voulait gâché Noel », son livre adapté ici pourrait être estampillée EELV, on est plongé dans un monde sans nature, sans arbres, sans oiseaux, les habitants étant comdamnes a vivre dans une ville artificiel, ou tout est factice, la question qui se pose c'est pourquoi cette situation ? Ted mué par son irrésistible envie de plaire a sa voisine, partira a l'aventure avec pour but, ramener un arbre !!! Il rencontrera le Gash-Pilleur, qui lui racontera la vérité, une vérité qui trouvera écho en chacun, car ce n'est qu'une projection fataliste de notre mode de consommation.

Doté d'un budget de 70 millions de Dollars, Chris Renaud livre une fable de bonne facture, une animation assez lointaine des plus grosses production, n'est pas Pixar qui veut, mais c'est soigné, les couleur chatoyante donne vie a l'univers coloré et kitch d'un monde imaginaire, dispensant un message écologique des plus justes, les petits retiendront qu'il faut apprendre a vivre et a respecter la nature, tandis que les plus grands percevront que l'économie comme nous la concevons n'est pas incompatible avec le respect de l'éco-système. Le rôle du Lorax ? Comme Batman, il ne peut tout résoudre si nous meme nous faisons rien, c'est donc au travers de Ted que l'espoir reprendra; Chris Renaud fait un dessin animé rythmé, ponctué de petit touche d'humour pour relever l'aspect pesant de certaine séquences, quelque référence bien sentis, avec un méchant qui n'est pas sans rappeler notre ancien président, des personnages secondaire drôle et attachants, un aspect comédie musical intéressant mais qui ne fait pas spécialement mouche, les chansons ne restants pas dans la tête a la fin du film. Le casting vocal est eclectique en V.O, avec Danny De Vito, Ed Helms ou encore Zac Efron, la ou le notre a tendance a faire peur au première abord avec Kev Adams, Alexandra Lamy et François Berléand, mais force et de reconnaître que l'alchimie fonction et que l'on croit a ce film