2010 - 20192016Bryce Dallas HowardCritiqueDavid LoweryKarl UrbanOakes FegleyOona LaurenceRobert RedfordWes Bentley
Peter et Elliot le dragon
Peter et Elliot le dragon réalisé par David Lowery
Je ne me souviens absolument pas d'avoir un jour vu le premier Peter et Eliott, mais cependant il est là. Je connais son nom, je me souviens du personnage illustré à califourchon sur son dragon. C'est par hasard, au détour d'une séance ciné que je me suis retrouvée face à une bande annonce regroupant Peter, son dragon et Robert Redford, ça m'a tout de suite paru être un combo de rêve. Et à l'occasion d'un jeu avec mon amoureux (chacun amène l'autre à une séance ciné sans lui dire quel film on va voir) Je l'ai embarqué sur un dragon.
L'histoire a un petit air de déjà vue. C'est l'histoire d'un enfant perdu, seul dans la foret, suite a un accident de voiture dans lequel ses parents sont morts. Un enfant qui va être élevé par un animal sauvage. Lui ce ne sera pas un loup ou un ours , trop banal, ce sera un dragon, ce sera Elliot. Six ans après, alors que le petit garçon a une dizaine d'années, il est retrouvé lors d'une scène d'une mignonitude sans nom dont je ne vous dévoilerai rien.
Alors il y aura des ennemis, des compagnons comme dans toute bonnes histoire, une princesse badass, la jolie Natalie qui prend les trais de oona Laurence. Elle incarne à la perfection le trait d'union entre le Peter et le reste du monde. On retrouvera aussi, un narrateur, un sage qui nous aidera à avoir une autre perception du film. Ici c'est Robert Redford, l'homme qui a la connaissance, de par son age, de par ce qu'il a vécu. Il arrive parfaitement a contextualiser l'histoire.
Si cette histoire est porteuse d'espoir c'est dans les enfants qu'il réside. Ils sont le plus sensibles aux histoires de dragons ; c'est Peter que notre Dragon aime, et la jolie Natalie n'est pas effrayée par lui. Cependant on ne peut s’empêcher de noter qu'alors que ce film n'a aucun lien avec son prédécesseur, le réalisateur décide de l'encrer quand même dans les années 70. Nous laissant avec cet amer constat, sur l'évolution de notre respect de la nature et des animaux.
Ce film n'est pas qu'un film pour enfants. C'est un film a plusieurs niveaux de lecture. Mais un film qui émeut toutes les tranches d'ages. J'ai du pleurer pendant une heure, sur 1h45 de film. Comme tous les gens autour de moi dans la salle de cinéma. Sous couvert d'une beauté hors du commun et d'un film Disney le discours est dure et violent et un brin désenchanté.
Ce film n'est pas qu'un film pour enfants. C'est un film a plusieurs niveaux de lecture. Mais un film qui émeut toutes les tranches d'ages. J'ai du pleurer pendant une heure, sur 1h45 de film. Comme tous les gens autour de moi dans la salle de cinéma. Sous couvert d'une beauté hors du commun et d'un film Disney le discours est dure et violent et un brin désenchanté.
1 commentaires
C'était tellement mieux que la purge de 1977. Adios les chansons poussives, la guimauve pénible, les acteurs qui cabotinnent et le nawak total. En changeant totalement le cadre et l'intrigue (on retrouve deux trois points communs quand même), David Lowery réussit là où son aîné s'est planté. Les chansons folk donnent un vrai air d'americana, les acteurs jouent bien mieux et la relation Peter-Elliott est bien moins exploité, y compris l'utilisation de son invisibilité, enlevant toute schizophrénie improbable à l'enfant. Par contre désolé Cécile, mais la tronche d'Elliott est vraiment laide, sorte de gros bordel entre le chien, le dragon et l'improbable.
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