Synopsis:

En 2029, après leur échec pour éliminer Sarah Connor, les robots de Skynet programment un nouveau Terminator, le T-1000, pour retourner dans le passé et éliminer son fils John Connor, futur leader de la résistance humaine. Ce dernier programme un autre cyborg, le T-800, en l'envoie également en 1995, pour le protéger. Une seule question déterminera le sort de l'humanité : laquelle des deux machines trouvera John la première ?




Critique:

C'est « L'épisode » par excellence a ne pas rater, ces un pur moment de détente que nous offre James Cameron comme il nous le démontrera si souvent. Je peux dire donc dire sans détour qu'il est de retour, oui ce monstre fait de chair et de sang que l'on appelle « TERMINATOR », dans ce 2eme volet encore plus spectaculaire ….

Tel une partie perdu a Fifa, Skynet a le droit de rejouer. Pourquoi ? Car elle n'a pas pus tuer Sarah Connor et piqué au vif elle réagit en utilisant un power-up et envoie le T-1000 un robot constitué d'un alliage polymimétique lui permettant de prendre l'apparence de n'importe qui, il est aussi plus fort, plus rapide, plus discret, plus mortel, le parfait tueur pour essayer a nouveau de s'en prendre a la famille Connor et éliminé ainsi le fils. Si Skynet envoie le T1000, la résistance programme un T800 qui auras pour charge de protéger John Connor. L'affrontement dans le présent entre le T800 et le T1000 sera titanesque et semés d’embûches, si il protège John, il devra protéger aussi Sarah Connor et démantelé Skynet, le tout pour éviter le jugement dernier ….

L'une des innombrables prouesses du film ces la modélisation du T-1000, interpréter par Robert Patrick un tueur implacable fait de métal liquide, une vrai prouesse pour l'époque grâce aux sfx par ordinateur ainsi que par le travail de Stan Winston, ce qui rend encore très bien vingt ans après, on dirait presque un film actuel, ce qui laisse entrevoir le travail colossal fait a l'époque, sachant que James Cameron voulait des effets spéciaux a la hauteur et qu'il a fait bosser pas moins de 3 compagnies pour son film, chacun se partageant le travail pour un rendu des plus fantastique, rendant le film incroyablement beaux. Une beauté plastique qui est entièrement au service d'une intrigue bien ficelé, ainsi qu'a la porté de scènes d'actions réjouissantes, variés, drôles, de bons dialogues ainsi qu'une B.O vraiment sensationnelle

Tous les passages faisant intervenir Linda Hamilton (Sarah Connor) sont tétanisant, elle est méconnaissable, tant physiquement que psychologiquement, un physique taillé pour le combat mais un équilibre mental frisant la folie, qui ces des choses que personne ne peut comprendre, a part son fils, jeune et virant dans la délinquance interprétés par Edward Furlong a la fois drôle et touchant, un John Connor très agréable a voir jouer et pour finir, la bête de chez bête, la terreur des cyborgs, je parle évidemment d'Arnold Schwarzenegger qui s'offre un rôle toutefois bien plus consistant que dans le premier volet, il ne se contente plus de tirer a tout vas, il s'humanise et apprend, ironique pour une machine ?