ASSAUT

Réalisé par John Carpenter

Sortie en salle le 5 Juillet 1978

Critique :

Des fois j'ai vraiment l'impression que certains réalisateurs manquent cruellement d'imagination, car si on jette un œil derrière, un petit coup rapide dans le passé on s'aperçoit qu'avec peu, des réalisateurs de génie on fait des chefs d'œuvres et même si le cout de la vie était moins cher le mérite n'en était pas moins grand, cet ainsi que John Carpenter équipé de 100 000 $, d'une équipe d'acteurs peu connu mais expérimenté qu'il signa « Assaut » en 1978 qui fera l'objet de remakes a la fois officieux (Nid de Guêpes 2002) et officiel (Assaut sur le Central Treize 2005) chez nous.

A Los Angeles, les gangs mènent la vie dure aux flics, ce qui les poussent a réagir aussi durement qu'eux. Lors d'une opération les flics font une boucherie, le gang qu'il visait est presque anéanti mais cela n'apaise rien du tout car un autre groupe a réussi a se procurer un stock d'armes importants pour faire a leur tour un carnage. Pactisant par le sang, leur virée meurtrière pouvait commencer, une virée qui finiras dans un commissariat ou bien malgré eux, des flics qui assuré le déménagement du commissariat, des détenus qui transitent ici et des victimes du gang pendant la journée, ce trouvent tous coincé a subir la fureur de ce gang ... La nuit sera longue …

Si j'ai parler de remake plus haut, l'ambition quand a Carpenter était de livre sa version moderne de « Rio Bravo » réalisé par Howard Hawks ce qu'il réussi plutôt bien, on passe ainsi allègrement d'un western a un film policier, le film aurait pus verser dans l'outrancier des le départs mais le film prends sont temps pour la mise en place, on apprend a connaître les personnages, ce qu'ils font … Et progressivement le film devient ainsi un huis-clos oppressant, glauque, angoissant et la mise en scène de John Carpenter est brillante, rythmé ou l'ennui ne s'installe jamais, ajouté a sa la musique qui apporte énormément a l'ambiance du film, cet ainsi qu'on assiste a un huis clos haletant ou la violence ce confonds avec la folie, les scènes marquante ne manquent pas notamment dans les 30 premières minutes, un pacte sur le sang, des exécutions sommaires, des assauts de plus en plus violents. Quand aux acteurs peu connu du public a l'époque tire leur épingles du jeu les deux antagonistes joué par Austin Stoker et Darwin Joston tout deux tiré a quatre épingles, comme Martin West, Laurie Zimmer ou comme la courageuse Nancy Kyes ...

Un film en tout point excellent