20102010 - 2019Catherine DeneuveCritiqueFabrice LuchiniFranceFrançois OzonGerard DepardieuJeremie RenierJudith GodrecheKarine Viard
Potiche
POTICHE
Réalisé par François Ozon
Sortie en salle le 10 Novembre 2010
Synopsis:
En 1977, dans une province de la bourgeoisie française, Suzanne Pujol est l’épouse popote et soumise d’un riche industriel Robert Pujol. Il dirige son usine de parapluies d’une main de fer et s’avère aussi désagréable et despote avec ses ouvriers qu’avec ses enfants et sa femme, qu’il prend pour une potiche. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique…
Critique:
Le passif entre moi et François Ozon ??? Heu … Aucun film a part celui que je viens de voir, qui n'est autre que « Potiche », car pour une fois sa avais l'air moins pompeux qu'a l'accoutumais, le titre du film lui vas comme gant, comme quoi il ne faut jamais statué définitivement sur une Potiche. Avant d'être un film, Potiche est une pièce de théâtre de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy crée en 1980, le film met dont en scène les même personnages que la pièce, Suzanne est une potiche, une statue, une coquille vide, bref un femme complètement soumise a son crétin de mari, le despote PDG de l'entreprise familiale Robert Pujol, un pur capitaliste qui presse jusqu'au citron ces employé. Sauf qu'un jour, ces employés se rebellent, le séquestre et sa femme le fait libérer, après cela c'est elle la « Potiche » qui le remplace !!! De manière laborieuse au début, mais elle s'affirme de plus en plus avec a coté son fils et sa fille, un gauchiste et une future fan du Sarkozysme, tout cette affaire ce compliquera avec le retour du père …
J'avoue que j'ai apprécié dans son ensemble, François Ozon réussit une comédie légère et d'actualité malgré l'époque, une réflexion sur la place de la femme dans la société. C'est assez rythmé tout en cultivant cet aspect kitch sans faire dans le ringard, les décors, les costumes sont franchement réussit. Le plus indéniable du film revient sans forcé au castings impeccable, par contre j'ai été gênée a certain moment par l'aspect « trop » théâtral de certaine scènes, cela doit passé au théâtre mais dans le film c'est parfois trop gros et pas crédible du tout, comme l'ensemble des personnages au demeurant sympathique mais caricaturaux …
Un Casting so french touch, avec en tête Catherine Deneuve qui semble s'amuser avec bonheur de son image, jouant avec conviction une femme qui devient indépendante; Fabrice Luchini joue le connard de PDG, surjouant a peu prés tout le temps mais le voir ce faire virer par Catherine Deneuve ces top; le gaillard Gérard Depardieu en maire communiste qui défends le travailleur, assez drôle; les deux plus droles sont les enfants, Jéremie Renier joue un gauchiste bohème a tendance baba cool et Judith Godreche la digne fille de son père, préférant appeler les CRS a la négociations; on trouve aussi Karine Viard en secrétaire engagé; un casting hétéroclite et qui joue bien ...
En 1977, dans une province de la bourgeoisie française, Suzanne Pujol est l’épouse popote et soumise d’un riche industriel Robert Pujol. Il dirige son usine de parapluies d’une main de fer et s’avère aussi désagréable et despote avec ses ouvriers qu’avec ses enfants et sa femme, qu’il prend pour une potiche. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique…
Critique:
Le passif entre moi et François Ozon ??? Heu … Aucun film a part celui que je viens de voir, qui n'est autre que « Potiche », car pour une fois sa avais l'air moins pompeux qu'a l'accoutumais, le titre du film lui vas comme gant, comme quoi il ne faut jamais statué définitivement sur une Potiche. Avant d'être un film, Potiche est une pièce de théâtre de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy crée en 1980, le film met dont en scène les même personnages que la pièce, Suzanne est une potiche, une statue, une coquille vide, bref un femme complètement soumise a son crétin de mari, le despote PDG de l'entreprise familiale Robert Pujol, un pur capitaliste qui presse jusqu'au citron ces employé. Sauf qu'un jour, ces employés se rebellent, le séquestre et sa femme le fait libérer, après cela c'est elle la « Potiche » qui le remplace !!! De manière laborieuse au début, mais elle s'affirme de plus en plus avec a coté son fils et sa fille, un gauchiste et une future fan du Sarkozysme, tout cette affaire ce compliquera avec le retour du père …
J'avoue que j'ai apprécié dans son ensemble, François Ozon réussit une comédie légère et d'actualité malgré l'époque, une réflexion sur la place de la femme dans la société. C'est assez rythmé tout en cultivant cet aspect kitch sans faire dans le ringard, les décors, les costumes sont franchement réussit. Le plus indéniable du film revient sans forcé au castings impeccable, par contre j'ai été gênée a certain moment par l'aspect « trop » théâtral de certaine scènes, cela doit passé au théâtre mais dans le film c'est parfois trop gros et pas crédible du tout, comme l'ensemble des personnages au demeurant sympathique mais caricaturaux …
Un Casting so french touch, avec en tête Catherine Deneuve qui semble s'amuser avec bonheur de son image, jouant avec conviction une femme qui devient indépendante; Fabrice Luchini joue le connard de PDG, surjouant a peu prés tout le temps mais le voir ce faire virer par Catherine Deneuve ces top; le gaillard Gérard Depardieu en maire communiste qui défends le travailleur, assez drôle; les deux plus droles sont les enfants, Jéremie Renier joue un gauchiste bohème a tendance baba cool et Judith Godreche la digne fille de son père, préférant appeler les CRS a la négociations; on trouve aussi Karine Viard en secrétaire engagé; un casting hétéroclite et qui joue bien ...
Un film vraiment sympathique
2 commentaires
Il est dommage que Ozon n'est pas trouvé mieux que les adultères passées pour épicer le tout ; un peu facile et la critique du monde du travail en devient secondaire avec un ton acerbe qui s'efface devant le vaudeville plus classique... 2/4
RépondreSupprimerC'est vrai, car sans sa l'ensemble serait assez plat, puis aussi les roles qui sont a la limites de la caricature.
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