2010 - 20192011Antonio BanderasBlanca SuarezCritiqueElena AnayaEspagneJan CornetMarisa ParedesPedro AlmodovarRoberto Alamo
La Piel que Habito
LA PIEL QUE HABITO
Réalisé par Pedro Almodovar
Sortie en salle le 17 Aout 2011
Synopsis:
Depuis que sa femme a été victime de brûlures dans un accident de voiture, le docteur Robert Ledgard, éminent chirurgien esthétique, se consacre à la création d’une nouvelle peau, grâce à laquelle il aurait pu sauver son épouse. Douze ans après le drame, il réussit dans son laboratoire privé à cultiver cette peau : elle constitue néanmoins une véritable cuirasse contre toute agression, tant externe qu’interne, dont est victime l’organe le plus étendu de notre corps. Pour y parvenir, le chirurgien a recours aux possibilités qu’offre la thérapie cellulaire. Outre les années de recherche, il faut aussi à Robert une femme cobaye, un complice et une absence totale de scrupules. Les scrupules ne l’ont jamais étouffé, il en est tout simplement dénué.
Depuis que sa femme a été victime de brûlures dans un accident de voiture, le docteur Robert Ledgard, éminent chirurgien esthétique, se consacre à la création d’une nouvelle peau, grâce à laquelle il aurait pu sauver son épouse. Douze ans après le drame, il réussit dans son laboratoire privé à cultiver cette peau : elle constitue néanmoins une véritable cuirasse contre toute agression, tant externe qu’interne, dont est victime l’organe le plus étendu de notre corps. Pour y parvenir, le chirurgien a recours aux possibilités qu’offre la thérapie cellulaire. Outre les années de recherche, il faut aussi à Robert une femme cobaye, un complice et une absence totale de scrupules. Les scrupules ne l’ont jamais étouffé, il en est tout simplement dénué.
Critique:
Tout les films de Pedro Almodovar sont intéressant, même pour moi qui n'est vu qu'Etreintes Brisée de ce cinéaste. La bande annonce présenté de son film « La Piel que Habito » a Cannes 2011 a su titillé ma curiosité, par son synopsis d'abord, par son castings (Antonio Muy Macho !!!), par cette bande annonce particulièrement électrisante et énigmatique ont donc finis de faire de ce film une de mes priorités a voir en salle cet été.
C'est vraiment une histoire des plus malsaine que j'ai pus voir a l'écran, Pedro Almodovar livre donc sa propre version du livre « Mygale » de Thierry Jonquet, poussant selon c'est dire la cruauté et l'ampleur de la vengeance, je ne saurais dire si il a raison mais ce qui est sur c'est que vengeance il y a, le film commence dans la région de Tolède, nous arrivons dans une villa, une belle et grande demeure qui abrite Vera, une femme étrange a la beauté hypnotisante prisonnière du Docteur Ledgard, brillant chirurgien qui teste sur elle une nouvelle peau, plus résistante. Cet initiative n'est pas du goût de ces confrère, jugeant sa peu conforme a l'éthique, peu a peu on est plongé dans une histoire qui nous dépasse, ou Vera n'est que le fruit de la vengeance d'un homme, torturé, marqué au plus profond de lui.
Il est difficile de ne pas révéler le fil de l'intrigue, tant les rebondissements sont nombreux, ceci dit Pedro Almodovar ne vas pas assez loin par rapport a son film, entre la manipulation et l'expérimentation génétique, la vengeance avec option frankestein, les viols et une santé mentale des personnages au bords de la folie, prêt a tomber a tout moment dans les abysses; a partir d'un scénario béton Pedro Almodovar construit son film en ménageant son suspense de la meilleur des façon, alternant flashback et moment présent, une réalisation proche de Hitchcock, notamment au début du film, une musique bien choisis et en adéquation avec le film, un choix d'acteur renversant et si des défauts il y a, c'est finalement cette sorte « d'happy end » a la fin du film qui dépareille avec la noirceur de ce long métrage, pour ma part je ne m'attendais pas a sa.
Le castings est admirable en tout point, un Antonio Banderas en tres grande forme que je n'avais pas vu depuis un moment au cinéma, toujours aussi électrique, cet aspect froid tétanisant qui cache une rage immense, cet peut etre le meilleur rôle ou j'ai vu Antonio Banderas; sa femme, son sujet d'experimentation joué par Elena Anaya a la beauté irréel qui souligne ce coté personne « fabriqué », veritable miroir du Docteur Ledgard, une grande performance pour cette actrice étonnante; Marisa Paredes joue l'intendante dans la villa du docteur, c'est la seule qui ces tout et son rôle est des plus ambigus porté avec brio par cette actrice, a coté de ce trio Jan Cornet jeune arrogant qui n'en peu plus de sa vie; Roberto Alamo qui joue le fils de Marilia, un voyou au goût prononcé pour le déguisement; enfin la douce Blanca Suarez qui jouera la fille du docteur, mentalement fragile et traumatisé par ce quelle vivra.
C'est vraiment une histoire des plus malsaine que j'ai pus voir a l'écran, Pedro Almodovar livre donc sa propre version du livre « Mygale » de Thierry Jonquet, poussant selon c'est dire la cruauté et l'ampleur de la vengeance, je ne saurais dire si il a raison mais ce qui est sur c'est que vengeance il y a, le film commence dans la région de Tolède, nous arrivons dans une villa, une belle et grande demeure qui abrite Vera, une femme étrange a la beauté hypnotisante prisonnière du Docteur Ledgard, brillant chirurgien qui teste sur elle une nouvelle peau, plus résistante. Cet initiative n'est pas du goût de ces confrère, jugeant sa peu conforme a l'éthique, peu a peu on est plongé dans une histoire qui nous dépasse, ou Vera n'est que le fruit de la vengeance d'un homme, torturé, marqué au plus profond de lui.
Il est difficile de ne pas révéler le fil de l'intrigue, tant les rebondissements sont nombreux, ceci dit Pedro Almodovar ne vas pas assez loin par rapport a son film, entre la manipulation et l'expérimentation génétique, la vengeance avec option frankestein, les viols et une santé mentale des personnages au bords de la folie, prêt a tomber a tout moment dans les abysses; a partir d'un scénario béton Pedro Almodovar construit son film en ménageant son suspense de la meilleur des façon, alternant flashback et moment présent, une réalisation proche de Hitchcock, notamment au début du film, une musique bien choisis et en adéquation avec le film, un choix d'acteur renversant et si des défauts il y a, c'est finalement cette sorte « d'happy end » a la fin du film qui dépareille avec la noirceur de ce long métrage, pour ma part je ne m'attendais pas a sa.
Le castings est admirable en tout point, un Antonio Banderas en tres grande forme que je n'avais pas vu depuis un moment au cinéma, toujours aussi électrique, cet aspect froid tétanisant qui cache une rage immense, cet peut etre le meilleur rôle ou j'ai vu Antonio Banderas; sa femme, son sujet d'experimentation joué par Elena Anaya a la beauté irréel qui souligne ce coté personne « fabriqué », veritable miroir du Docteur Ledgard, une grande performance pour cette actrice étonnante; Marisa Paredes joue l'intendante dans la villa du docteur, c'est la seule qui ces tout et son rôle est des plus ambigus porté avec brio par cette actrice, a coté de ce trio Jan Cornet jeune arrogant qui n'en peu plus de sa vie; Roberto Alamo qui joue le fils de Marilia, un voyou au goût prononcé pour le déguisement; enfin la douce Blanca Suarez qui jouera la fille du docteur, mentalement fragile et traumatisé par ce quelle vivra.
Un thriller aussi malsain qu'habile, une réussite venu de l'Espagne signé Almodovar
2 commentaires
Pas beaucoup aimé, problématique chirurgicale trop simpliste, pas de suspense efficace et Banderas n'est clairement pas crédible (ou à son aise)... 1/4
RépondreSupprimerLe contraire de moi, cependant je suis d'accord sur la problematique chirurgicale, cela méritais quelque chose de plus poussé, mais je ne trouve pas que cela lui nuis, j'avoue que par moment j'ai trouvé qu'Antonio n'y était pas, ceci j'ai beaucoup aimé ce film
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