0071970 - 19791974Bernard LeeBritt EklandChristopher LeeCritiqueDesmond LlewelynGuy HamiltonHerve VillechaizeJames BondLois MaxwellMaud AdamsRoger Moore
L'Homme au Pistolet d'Or
Ce film vas clairement marqué un tournant dans la saga, car ces la dernière fois qu'un James Bond est produit par le duo au complet Albert R. Broccoli et Harry Saltzman, car ce dernier vois son partenariat arrivé a termes après la sortie du film, d'ailleurs cela ne sera pas sans conséquences sur le James Bond avenir. 9ème films de la saga James Bond « L'homme au pistolet d'or » succède au premier opus de Roger Moore hélas assez ridicule « Vivre et Laisser mourir », toujours dans un soucis d'évolution et de coller a l'actualité, il sera question de choc pétrolier et de la nécessité de trouver une énergie alternative. Comme depuis le début, tout ne vas pas dans le sens des producteurs, adaptant le dernier roman de Ian Fleming, il souhaitait le faire directement après « On ne vit que deux fois », mais la production en a été annulé, repoussé ensuite a cause de la Guerre Civile cambodgienne, mais ils anticipent bien car Roger Moore été déjà prévu.
Le Roman de Fleming qui sert de décor au film n'est pas beaucoup respecté, gardant juste le méchant et son pistolet, on découvre ainsi Scaramanga sur son ile personnelle, au soleil, pendant que son laquer un nain qui s'appelle Tric Trac essaye de le tuer avec l'aide d'un gangster, mais avec son Pistolet d'Or il élimine aisément. Au MI6 on est inquiet car 007 reçoit une balle de Scaramanga, signalant ainsi ces objectifs, donc pour évité que Bond soit en danger M lui fait arrêter sa mission, pourtant vitale pour l'Angleterre, James Bond ce lance sur les traces de Scaramanga et du chemin des balles en Or, c'est assez vite qu'il se retrouve sur le chemin de Scaramanga, un dangereux adversaire qui se situe entre lui et le bien qu'il doit retrouver, un obstacle bien dangereux ….
J'attendais beaucoup de ce second film pour Roger Moore, encore réalisé par Guy Hamilton qui signe ainsi son quatrième et dernier film de la franchise; mais au final je suis vraiment déçu car il n'y a pas grand chose a retenir si ce n'est que Christopher Lee, sinon le film se noie dans ce trop plein d'humour, de second degré, d'humour potache et d'allusion sexuelle que l'on ai plus habitué a entendre dans « Austin Powers » et cela se fait au détriment du reste, Roger Moore n'est plus qu'un simili-gogo qui emballe plus vite qu'il ne tire, l'histoire passe au second plan, les scènes d'actions sont bien faites mais trop rapides, le duel Bond/Scaramanga tourne aussi vite qu'il est arrivé et ne parlons pas de la séquence Benny Hillesque de la fin avec Tric Trac.
La seule bonne chose de ce film, c'est d'avoir recruté pour le rôle de Scaramanga, l'immense Christopher Lee, pourtant il n'étais pas le premier sur la liste c'était Jack Palance qui l'avais, mais au final Christopher Lee, cousin de Ian Fleming incarne ce tueur a gage mythique, discret, affable quand il le faut, terriblement précis et diabolique dommage que la fin ne l'avantage pas; le pétillant Roger Moore est peut être sympathique, élégant mais il donne une version trop différente du personnage, trop décalé dont je n'adhère pas; le petit français Hervé Villechaize qui incarne Tric Trac étrange petit personnage drôle et décalé; puis les roles féminins aussi potaches que les blagues du film, Britt Ekland et Maud Adams ainsi que les historiques Lois Maxwell, Desmond Llewelyn, Bernard Lee toujours propres et bon ...
Le Roman de Fleming qui sert de décor au film n'est pas beaucoup respecté, gardant juste le méchant et son pistolet, on découvre ainsi Scaramanga sur son ile personnelle, au soleil, pendant que son laquer un nain qui s'appelle Tric Trac essaye de le tuer avec l'aide d'un gangster, mais avec son Pistolet d'Or il élimine aisément. Au MI6 on est inquiet car 007 reçoit une balle de Scaramanga, signalant ainsi ces objectifs, donc pour évité que Bond soit en danger M lui fait arrêter sa mission, pourtant vitale pour l'Angleterre, James Bond ce lance sur les traces de Scaramanga et du chemin des balles en Or, c'est assez vite qu'il se retrouve sur le chemin de Scaramanga, un dangereux adversaire qui se situe entre lui et le bien qu'il doit retrouver, un obstacle bien dangereux ….
J'attendais beaucoup de ce second film pour Roger Moore, encore réalisé par Guy Hamilton qui signe ainsi son quatrième et dernier film de la franchise; mais au final je suis vraiment déçu car il n'y a pas grand chose a retenir si ce n'est que Christopher Lee, sinon le film se noie dans ce trop plein d'humour, de second degré, d'humour potache et d'allusion sexuelle que l'on ai plus habitué a entendre dans « Austin Powers » et cela se fait au détriment du reste, Roger Moore n'est plus qu'un simili-gogo qui emballe plus vite qu'il ne tire, l'histoire passe au second plan, les scènes d'actions sont bien faites mais trop rapides, le duel Bond/Scaramanga tourne aussi vite qu'il est arrivé et ne parlons pas de la séquence Benny Hillesque de la fin avec Tric Trac.
La seule bonne chose de ce film, c'est d'avoir recruté pour le rôle de Scaramanga, l'immense Christopher Lee, pourtant il n'étais pas le premier sur la liste c'était Jack Palance qui l'avais, mais au final Christopher Lee, cousin de Ian Fleming incarne ce tueur a gage mythique, discret, affable quand il le faut, terriblement précis et diabolique dommage que la fin ne l'avantage pas; le pétillant Roger Moore est peut être sympathique, élégant mais il donne une version trop différente du personnage, trop décalé dont je n'adhère pas; le petit français Hervé Villechaize qui incarne Tric Trac étrange petit personnage drôle et décalé; puis les roles féminins aussi potaches que les blagues du film, Britt Ekland et Maud Adams ainsi que les historiques Lois Maxwell, Desmond Llewelyn, Bernard Lee toujours propres et bon ...
6 commentaires
Tout le charme du film est dans Christopher Lee et Hervé de Luze (malgré la voix de Bugs Bunny en VF), ce qui fait de L'homme au pistolet d'or mon 007 préféré avec Roger Moore. Sinon Roger Moore est toujours lourdau et la James Bond girl blonde qui te pousse une manette avec son cul fallait vraiment oser!
RépondreSupprimerEh encore, car pour ils sont sous exploités !!! Vraiment un film pas terrible
SupprimerPerso je l'aime uniquement pour eux d'eux et l'île. Ce qui confirme franchement mon amour pour les 007 de Moore. :)
SupprimerOui je comprends
SupprimerA oublier, comme la majeure partie des James Bond 007 de l'époque Roger Moore.
RépondreSupprimerJ'en suis a 2 sur 7 et j'en aime aucun pour l'instant
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