Réalisé Paul W.S. Anderson

Sortie en salle le 15 Octobre 2008

Synopsis:

Dans une Amérique futuriste, les prisonniers sont contraints de participer à de très violentes courses automobiles dans des arènes fermées. C'est dans ce contexte qu'un homme qui doit être libéré dans quelques semaines se voit assigné à participer à l'une de ces courses. Celle-ci est une course à la mort ! Il devient alors l'un des favoris du public qui le connaît sous le nom de Frankenstein...






Paul W.S. Anderson a ne pas ( et je reprends une vieille blague) confondre avec Paul Thomas Anderson (There will be Blood), si Course a la Mort est sympathique on pouvait en douter en sachant qui la massacré en film, 3 putain de navet sur la saga "Resident Evil" mais bon je ne suis pas la pour parler de sa.

Course a la Mort ou Death Race (in English) est le remake de La Course à la mort de l'an 2000, réalisé par Paul Bartel avec Sylvester Stallone et David Carradine. Pour ma part même sans voir le remake, Paul W.S. Anderson a changé pas mal de chose en réduisant l'intrigue, ce limitant a garder le principe de la course; le nom des 2 personnages principaux et gardant le coté réality show !!! J'aime dans l'histoire le coté jeux vidéo, une course en plusieurs étapes, éliminer ces rivaux pour gagner et passer a l'autre manche, puis les armes que tu active en passant sur les logos au sol (items) contrôlé par la directrice de la prison, dans le fond c'est pas folichon, déjà si on devais se fier aux films de ces derniers mois, années, 2012 s'annonce comme une année de merde, chômage a grande échelle, délinquance et aussi des prisonniers, s'imbriquant dans un système pervers de jeu, les prisons étant tenu par des sociétés privés elle font participer les prisonniers, dérive de la société, télé-réalité empoisonné, prisonniers qui sert de bétail, c'est pas superbement développer mais c'est bien la.

Coté action, j'avoue et il le faut sa dépote sévère, on ne s'ennuie pas une secondes, les courses automobiles sont assez nombreuse et varié dans leur déroulement pour divertir efficacement, puis ce n'est pas de l'image de synthèse, des cascades a l'ancienne sans doubleur pour Jason Statham, j'ai été un poil agacé par la musique Rap qui tape sur le système. Jason Statham est dans son élément, de l'huile, des moteurs et de la testostérone relevé par une jolie gonzesse et tout roule pour lui, Tyrese Gibson qui n'est pas mauvais mais ce complaint d'être toujours le black de service qui n'aime pas les blancs, il sait faire et c'est déja pas mal; on rajoute aussi la (juste) sublime Nathalie Martinez une petite bombe !!!!