Pour remporter les Jeux Olympiques et permettre au jeune Alafolix d'épouser la Princesse Irina, Astérix et Obélix devront affronter le machiavélique Brutus, fils de César, au cours d'une Olympiade.

Critique:

Par ou commencer ? Car sérieusement, ma critique peut tenir en une phrase voir un mot, cela m'arrangerai, mais je manquerais de respects envers ce film.On récapitule, Astérix et Obélix contre César, réalisé par Claude Zidi en 1999 c'est 9 millions d'entrées puis trois ans plus tard avec Astérix et Obélix : mission Cléopâtre réalisé par Alain Chabat c'est 15 millions de spectateurs qui améliore ce score et pour celui ci un ridicule mais honorable: 6 millions d'entrées.Un bide, un fiasco, un ratage, probablement car dotée d'un budget pharaonique soit plus de 20 millions d'euros (soit a peu pres 70 millions d'euros) en plus que pour l'opus d'Alain Chabat, je ne sais pas se qui a pus leur passer a travers l'esprit, car quand une saga est attaqué, le mieux c'est d'après moi de leur emboiter le pas, de s'imprégner de ce qui a été déjà fait, d'avoir de la continuité dans le but de faire aussi bien ou mieux …

En plus quand vous voyez qu'ils embauchent 4 scénariste, on est pas dans la merde, c'est sur qu'ils ont du ce battre pour pondre un début de scénario, ou bien on ne leur a pas dit qu'ils adaptes une bande déssiné, la il massacre la BD, mais rajoute a leur convenance deux intrigues, un duel Brutus/César ainsi que l'histoire d'amour entre Alafolix (pas du,tout) et la princesse Irina, de l'humour aussi, malheureusement ça coince, la ou Alain Chabat réussissais a doser les blagues donnant un ryhtme tout particulier a son film ici on est concentré que sur Brutus, que Asterix il branle que dalle, Alafolix il en peu plus de baver devant sa princesse et Jules César n'en finit plus de parler de lui a la troisième personne, c'est donc un vrai massacre de la BD en règle, je plains les auteurs.

Concernant le film lui même … Je vous rassure c'est pas mieux, ça fleure bon le film qui se la pète, le fric il y est fallait bien le dépenser, c'est rare de voir un film français avec autant de trucage numérique, plus de 1000 en post-production, sont ils utilent ? Bien sur que non, car ils ne sont pas beau, cela ne ressemble a rien, tout comme les maquillages grimant les acteurs, avec mention spéciale a Brutus, puis aussi l'ensemble des décors semble fait en papier mâché, le film est haché, sans rythme distinct, des blagues et clin d'œil pourri le pire étant le sabre laser (Cela mérite la potence sa !!!, je rigole). Ah la rigueur les costumes de l'ensemble du film sont bon et bien fait.

Mais le pire du meilleur de ce truc filmique non identifié; ce sont les acteurs, les deux seuls qui s'en sortent c'est Gérard Depardieu et Idefix qui sont égal a eux même bien que sous exploité a mon grand regrets; le remplaçant de Christian Clavier est d'une nullité sans nom, Clovis Cornillac n'apporte rien et fait pire que dans le premier film, Benoit Poelvoorde est en roue libre sur ce film, il est insupportable de connerie, un vrai one-man-show, trop de mimique tue la mimique, que dire d'Alain Delon, j'avoue c'est pas un acteur que j'apprécie, mais qu'est il venue faire sur ce film, il se fait idolâtrer, un dieu vivant comme dans la scène ou Asterix interpelle César c'est Dieu César c'est de la pure caricature, un immonde ersatz d'acteur marrant; on aussi deux jolies personnes, le beau gosse Stephane Rousseau et mme Alice alias Vanessa Hessler qui sont loin d'être inoubliable.